Le jardin Zen du Quistillic vous invite dans un univers enchanté.
Plus qu’un jardin, c’est un
voyage inattendu au cœur des 5 éléments.
Au gré d'une visite qui vous permet de traverser un potager mandala aux formes géométriques très particulières, contempler un bassin et sa magnifique cascade, vous pourrez cheminer sur le labyrinthe médiéval le plus connu du monde, reproduction de celui de la cathédrale de Chartres ; vous poser au cœur d’un petit jardin sur le coin des sages, coin feu du lieu ; arpenter une magnifique allée de fougères arborescentes et découvrir quelques espèces rares ici et là en provenance des 5 continents au milieu de bananiers, palmiers et autre végétaux de collection.
Une création toute jeune puisque le jardin et le lieu s'installent depuis 2021.
Il comprend en outre quelques hébergements insolites en bois au plus près de la nature pour les chanceux désirant profiter du lieu au delà d’une simple visite.
Où il n’y avait rien, un couple de passionnés Laurence et David ont décidé de poser leurs valises au pied d’un magnifique manoir du 16ème siècle, le Manoir du Quistillic. Au delà de son aspect patrimonial, le manoir a abrité une mystique bretonne nommée Catherine Danielou morte en odeur de sainteté le 4 novembre 1667. Une histoire passionnante qu’ils ont décidé de remettre en lumière en créant un écrin de verdure et un lieu très insolite.
A l’origine petite seigneurie mentionnée dès 1536 , le manoir est construit en pierres de schiste et granit, et couvert en ardoise. Sa façade plate est complétée en son centre d’une tourelle à demi-circulaire abritant un escalier à vis en pierre, elle est agrémentée d’ouvertures protégées de solides grilles de fer forgée, d’autres à linteaux en accolade ou d’autres à encadrements massifs de granit.
L’état général du manoir nécessitant d’important travaux de restauration à venir, seule une salle mémorielle (dont un oratoire privé) est ouverte à la visite au rez-de-chaussée , sanctuarisant le souvenir et le décès de Catherine Daniélou, mystique et auxiliaire du Père Maunoir lors de ses
« missions évangéliques » bretonnes.
Malgré l’emplacement du manoir situé à la frange de l’activité économique des toiles de Bretagne au XVIIe siècle, qualifiée d’age d’or, cette activité ancienne n’a pas été le fer de lance pour la réhabilitation de l'environnement du manoir.
Seul un rappel spirituel à proximité immédiate du manoir, en accompagnement du sanctuaire de Catherine, s’est exprimé par la création du labyrinthe de plein air, reprenant le plan de celui de la cathédrale de Chartres.
Simultanément en tenant compte de l’époque contemporaine et du changement climatique, un parc d’inspiration exotique a été développé, abritant bananiers, palmiers et autres végétaux de collection : le Jardin Zen.